Dans le doute... ne t'abstiens pas
Puisque personne ne prouve la dangerosité de l'aluminium, continuons à en avaler et à nous en coller sur la peau.
Bien entendu, si les fabricants indiquaient de manière explicite qu' "Utiliser ce déodorant à base d'aluminium provoque le cancer du sein", je suppose que l'on choisirait une autre méthode pour éviter les odeurs de transpiration, encore que...
Nous avons la fâcheuse tendance à croire que cela n'arrive qu'aux autres, preuve en est la consommation de tabac. L'apparition (timide) de "photos choc" sur les paquets n'a pas ralenti la consommation de cigarettes. Le tabac est un des rares produits sur lequel tous les chercheurs s'accordent à dire qu'il y a danger à consommer.
Personne, dans cette mouvance de pensée unique, n'oserait dire que la cigarette atténuerait les effets ou protègerait de certaines maladies neurologiques comme Alzheimer ou Parkinson, maladies certainement provoquées par la surconsommation d'aluminium qui est présent dans notre alimentation et ses emballages, nos médicaments, nos produits cosmétiques...
Tant qu'on peut gagner de l'argent, autant en profiter... et au diable les recrudescences de cancers (principalement du sein dans le cas de l'aluminium) et l'explosion des maladies neurologiques, qui inquiète les gouvernements successifs qui se refusent à prendre des mesures d'interdictions (grâce au fameux principe de précaution) et qui, dans le doute, pourraient considérer que l'aluminium est dangereux pour la santé jusqu'à preuve de son innocuité.
Je plaisante, bien-sûr, les ministres, les organismes et commissions divers et variés chargés de la protection de notre santé et de notre alimentation ne font (bizarrement) confiance qu'aux industriels qui commercialisent tous ces produits toxiques !
Quel monde merveilleux... tout le monde est responsable, mais surtout pas coupable.
Partant de ce principe, bien entendu, tout devient possible et ce n'est pas le peuple qui va changer les choses. Il est trop occupé par son portable, sa météo et ses émissions télé.
ST.